Troisième et dernier workshop – Bidart, 13 – 19 octobre 2018.
Avec :
Pascale Blaison, marionnettiste, Paris, France.
Mathilde Chénin, artiste plasticienne, Hotonnes, France.
Nicolas Coltice, professeur des universités en Sciences de la Terre, Lyon, France.
Sarah Garcin, chercheur en design et art, enseignant, collectif g.u.i, Paris, France.
Uri Hershberg, enseignant-chercheur, Jérusalem, Israël.
Rafael Medeiros, artiste, Paris, France.
Boris Nordmann, artiste chercheur, Forcalquier, France.
Leïla Perié, docteure en immunologie, Paris, France.
Anna Principaud, artiste plasticienne, Paris, France.
Livio Riboli-Sasco, chercheur en philosophie des sciences, Paris, France.
Claire Ribrault, docteure en neuroscience, Paris, France.
Goni Shifron, scénographe plasticienne, Paris, France.
Antonia Taddei, dramaturge, Paris, France.
Benoît Verjat, chercheur en design et art, enseignant, collectif g.u.i, Paris, France.
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Alors que les précédents ateliers se sont construits autour d’une thématique réunissant les différent·e·s participant·e·s (les métaphores en immunologie lors d’un atelier préliminaire exploratoire ; les systèmes complexes ; le temps et les processus), ce dernier atelier se propose de réunir des petits groupes de travail afin de réfléchir plus spécifiquement sur une forme, un projet, une question dans la continuité des rencontres précédentes et pousser les choses plus avant, tout en gardant un objectif commun : « Comment faire «conclusions » à ces quatre workshops d’Un Institut Métaphorique ? ».
Il faut entendre ce mot conclusions non comme quelque chose de fermé mais comme une manière pour chacun de faire le point. Cette question peut aussi être entourée d’autres questions qui peuvent être entendues comme transversales au groupe : Comment fait-on pour faire ensemble ? Quel territoire de pensées et de pratiques a-t-on créé entre champs disciplinaires ? A quoi et à qui ça sert ? Comment pour chacun.e de nous cette expérience nous a-t-elle déplacée ?…
A l’occasion de cette troisième et dernière rencontre d’Un institut métaphorique, Mathilde Chénin et Anna Pincipaud inventent le Set des lieux et des fonctions et invitent plus particulièrement Nicolas Coltice, Sarah Garcin (g.u.i.) et Benoît Verjat (g.u.i.) à réfléchir à partir de cet outil à un espace numérique qui pourrait à l’avenir accueillir les activités d’UIM. Au gré de leurs dérivations, il·le·s aboutiront ensemble à créer l’esquisse d’une archive sonore en ligne qui rassemble les témoignages des participantes d’UIM
